Petite Chatterie familiale située en région parisienne dans l'Essonne
Fusion'l Coon tient son nom de la relation exceptionnelle que je partage avec Flocon
Pour le moment 8 Maine coon et leur 2 amis "stérilisés" les ptites bouilles partagent notre vie et notre maison.
Fusion'l Coon tient son nom de la relation exceptionnelle que je partage avec Flocon
Pour le moment 8 Maine coon et leur 2 amis "stérilisés" les ptites bouilles partagent notre vie et notre maison.
Nous n'avons plus de chatons disponibles actuellement, nos chatons nés le 25/06/2020 ont trouvés leurs familles
Numéro SIRET : 81496450800018
Certificat d'Etudes Techniques de l'animal de Compagnie Option Chat CETAC N° : C-2366
Certificat d'Etudes Techniques de l'animal de Compagnie Option Chat CETAC N° : C-2366
Tous nos maine coon sont testés sains pas Echo cardiaque et rénale
et sains par ADN pour la HCM1/SMA/PKdef
Tous nos chats sont testés sains FIV/FELV.
+ Identification génétique
Tous nos maine coon sont inscrit au LOOF ainsi que tous nos chatons
Nos chatons partent de chez nous stérilisés, avec identification génétioque et filiation avec leurs parents
et sains par ADN pour la HCM1/SMA/PKdef
Tous nos chats sont testés sains FIV/FELV.
+ Identification génétique
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Nos chatons partent de chez nous stérilisés, avec identification génétioque et filiation avec leurs parents
Nos 5 Chatons sont nés le 25 juin 2020 Roudoudou (A rejoint sa famille), Rivoli (Reste avec nous), Rafale (A rejoint sa famille), Reine Olympe (Reste avec nous), et Rhapsody (A rejoint sa famille)
Nos 5 Chatons sont nés le 25 juin 2020 Rhapsody (réservé) Roudou (disponible) Rivoli (reste avec nous) Reine Olympe (reste avec nous) et Rafale (disponible)
Nos 4 Chatons sont nés le 6 mars 2017
Niels Nabucco Némo Nicky
Nos chatons nés le 5 décembre 2015 plus de photos en page chatons 2015
Un peut d'histoire et de légendes
Pour certains, le Maine Coon serait issu des amours d’un chat sauvage des forêts de l’état du Maine (USA) avec un raton laveur (racoon) d’où son nom. Hypothèse des plus fantaisistes, une telle union est génétiquement et biologiquement impossible.
Et pourquoi pas une reine ?
Pour beaucoup, le Maine Coon serait d’origine française. En 1793, sentant la fin de la monarchie approcher, Marie-Antoinette aurait confié, ses six chats adorés au capitaine Clough, en partance pour la Nouvelle Angleterre où elle espérait pouvoir s’expatrier… Mais arrivés dans l’état du Maine, les chats royaux se seraient échappés et auraient fini par s’accoupler avec des matous du lieu.
Et les Vikings ?
La ressemblance entre le Maine Coon et le Chat des forêts norvégiennes nous oriente vers les hardis navigateurs nordiques qui avaient mené leurs drakkars jusque sur les rives américaines, aux alentours de l’an 1000. Auraient-ils amené quelques Skogkatts dans le fond de leurs navires ? Mystère !Amours intercontinentales…
Plus sérieusement, il est probable que le Maine Coon, premier chat de race américain soit le résultat du croisement entre des chats à poil long venus d’Asie, introduits sur le continent américain par des marins et les chats sauvages indigènes à poil court.
Un auxiliaire fermier
Robuste, vaillant et excellent chasseur, il devint rapidement un auxiliaire indispensable des agriculteurs américains, protégeant les récoltes de la prolifération des rongeurs. Son caractère sociable, doux, affectueux et très pacifique, lui permit de se faufiler dans les foyers, et il devint rapidement l’animal de compagnie des pionniers.
Après la ferme, l’exposition
Séduits par ses qualités, certains ne tardèrent pas à élever ce superbe chasseur à poil mi-long qu’ils présentèrent dans les toutes nouvelles expositions félines. En 1886, un chat noir et blanc, fut le premier Maine Cat (ancienne appellation du Maine Coon) à entrer dans l’histoire. Puis ce superbe chat sembla sombrer dans l’oubli, le public s’intéressant davantage aux races à poils long ou plus exotiques. En 1950, le plus important club actuel est créé. La race est officiellement reconnue en 1976 par la CFA, puis en 1980 par la FIFe.
Le Maine coon débarque en Europe
C’est seulement en 1972, que l’Europe, plus précisément l’Allemagne, voit apparaître le premier Maine Coon. Il faudra encore attendre presqu’une décennie pour le voir arriver en France. Aujourd’hui, il est très bien implanté dans notre pays grâce au travail des responsables des deux clubs de race français et certains éleveurs français présentent avec succès, leurs sujets dans des expositions américaines.
Un doux géant
Doux géant, colosse paisible, sont les deux caractéristiques principales appliquées au Maine Coon. Sa taille d’abord : c’est le plus grand des chats domestiques. Comme beaucoup d’animaux de grande taille, il grandit lentement et n’atteint sa pleine maturité que vers 4 ans. Il pèse alors entre 6 et 8 kg. Certains mâles atteignent 12 ou 14 kilos ! Les femelles pèsent environ 3 kilos de moins. Comme celles du chat sauvage et du lynx, ses oreilles sont terminées par une petite touffe de poils que l’on appelle « lynx tips ». La tête du Maine Coon est aussi très caractéristique, elle est large, avec des contours arrondis mais des pommettes saillantes. Son museau est fort et carré. Il forme comme un rajout sur sa face. Ses yeux sont ovales, même s’ils paraissent souvent ronds.
Le caractère du Maine Coon Calme et joueur. Chaton très joueur et curieux le Maine Coon gardera tout au long de son existence le même comportement. Il est aussi calme et affectueux et s’adapte très bien à la vie en appartement. Mais il appréciera de sortir dans le jardin. Il s’éduque facilement, s’entend très bien avec les autres chats et avec les chiens, s’ils ont été présentés jeunes… Il aime jouer avec son maître et apprend rapidement à rapporter une boulette de papier qui lui a été lancée. Il aime les caresses et adore se pelotonner sur les genoux de son maître. Plutôt que de miauler, le Maine Coon roucoule et il sait parfaitement se faire entendre quand il veut quelque chose !
Pour certains, le Maine Coon serait issu des amours d’un chat sauvage des forêts de l’état du Maine (USA) avec un raton laveur (racoon) d’où son nom. Hypothèse des plus fantaisistes, une telle union est génétiquement et biologiquement impossible.
Et pourquoi pas une reine ?
Pour beaucoup, le Maine Coon serait d’origine française. En 1793, sentant la fin de la monarchie approcher, Marie-Antoinette aurait confié, ses six chats adorés au capitaine Clough, en partance pour la Nouvelle Angleterre où elle espérait pouvoir s’expatrier… Mais arrivés dans l’état du Maine, les chats royaux se seraient échappés et auraient fini par s’accoupler avec des matous du lieu.
Et les Vikings ?
La ressemblance entre le Maine Coon et le Chat des forêts norvégiennes nous oriente vers les hardis navigateurs nordiques qui avaient mené leurs drakkars jusque sur les rives américaines, aux alentours de l’an 1000. Auraient-ils amené quelques Skogkatts dans le fond de leurs navires ? Mystère !Amours intercontinentales…
Plus sérieusement, il est probable que le Maine Coon, premier chat de race américain soit le résultat du croisement entre des chats à poil long venus d’Asie, introduits sur le continent américain par des marins et les chats sauvages indigènes à poil court.
Un auxiliaire fermier
Robuste, vaillant et excellent chasseur, il devint rapidement un auxiliaire indispensable des agriculteurs américains, protégeant les récoltes de la prolifération des rongeurs. Son caractère sociable, doux, affectueux et très pacifique, lui permit de se faufiler dans les foyers, et il devint rapidement l’animal de compagnie des pionniers.
Après la ferme, l’exposition
Séduits par ses qualités, certains ne tardèrent pas à élever ce superbe chasseur à poil mi-long qu’ils présentèrent dans les toutes nouvelles expositions félines. En 1886, un chat noir et blanc, fut le premier Maine Cat (ancienne appellation du Maine Coon) à entrer dans l’histoire. Puis ce superbe chat sembla sombrer dans l’oubli, le public s’intéressant davantage aux races à poils long ou plus exotiques. En 1950, le plus important club actuel est créé. La race est officiellement reconnue en 1976 par la CFA, puis en 1980 par la FIFe.
Le Maine coon débarque en Europe
C’est seulement en 1972, que l’Europe, plus précisément l’Allemagne, voit apparaître le premier Maine Coon. Il faudra encore attendre presqu’une décennie pour le voir arriver en France. Aujourd’hui, il est très bien implanté dans notre pays grâce au travail des responsables des deux clubs de race français et certains éleveurs français présentent avec succès, leurs sujets dans des expositions américaines.
Un doux géant
Doux géant, colosse paisible, sont les deux caractéristiques principales appliquées au Maine Coon. Sa taille d’abord : c’est le plus grand des chats domestiques. Comme beaucoup d’animaux de grande taille, il grandit lentement et n’atteint sa pleine maturité que vers 4 ans. Il pèse alors entre 6 et 8 kg. Certains mâles atteignent 12 ou 14 kilos ! Les femelles pèsent environ 3 kilos de moins. Comme celles du chat sauvage et du lynx, ses oreilles sont terminées par une petite touffe de poils que l’on appelle « lynx tips ». La tête du Maine Coon est aussi très caractéristique, elle est large, avec des contours arrondis mais des pommettes saillantes. Son museau est fort et carré. Il forme comme un rajout sur sa face. Ses yeux sont ovales, même s’ils paraissent souvent ronds.
Le caractère du Maine Coon Calme et joueur. Chaton très joueur et curieux le Maine Coon gardera tout au long de son existence le même comportement. Il est aussi calme et affectueux et s’adapte très bien à la vie en appartement. Mais il appréciera de sortir dans le jardin. Il s’éduque facilement, s’entend très bien avec les autres chats et avec les chiens, s’ils ont été présentés jeunes… Il aime jouer avec son maître et apprend rapidement à rapporter une boulette de papier qui lui a été lancée. Il aime les caresses et adore se pelotonner sur les genoux de son maître. Plutôt que de miauler, le Maine Coon roucoule et il sait parfaitement se faire entendre quand il veut quelque chose !
Description générale
Le Maine Coon est un chat à poil mi-long natif de l’Etat du Maine, sur la côte est des Etats-Unis. La race s’est développée à partir de croisements entre des chats de ferme locaux et d’autres chats aux origines mal cernées, importés par les immigrants européens et qui ont su s’adapter aux conditions de vie et au climat difficiles de la région.
Le Maine Coon est un grand chat avec de grandes oreilles, une poitrine large, une ossature et une musculature fortes, un corps rectangulaire et musclé, une queue longue et bien fournie. La fourrure, de longueur inégale sur le dos et les flancs, offre une bonne protection naturelle.
Remarques importantes : le type ne doit pas être sacrifié à la taille, ni la taille au type.
Les mâles adultes présentent une évolution caractérisée par un élargissement de la tête qui fait paraître les oreilles plus petites et plus basses.
Le Maine Coon est une race longue à arriver à maturité et il doit en être tenu compte en jugement.
Tête : en longueur comme en largeur, la tête est de taille moyenne avec des pommettes hautes et saillantes. De profil, la ligne du nez forme une légère courbe concave sans stop. Une légère bosse est autorisée sur le bout du nez.
Museau : anguleux, le museau vu de face est carré. De profil, il peut paraître rectangulaire et n’est jamais ni pointu ni étroit. Le nez, les lèvres et la pointe du menton sont alignés sur la même verticale renforçant l’impression « carrée » du museau. Le menton est ferme et fort. L’équilibre des proportions entre la tête et la longueur du museau est essentiel.
Yeux : grands, légèrement ovales et bien espacés l’un de l’autre, les yeux sont implantés en oblique mais peuvent apparaître ronds quand le chat est attentif. Toutes les nuances de vert, de doré, de cuivre ou de jaune sont acceptées sans qu’il y ait de relation entre la couleur des yeux et celle de la robe. Les yeux bleus ou impairs sont acceptés chez les chats blancs.
Oreilles : grandes, larges à la base, placées haut sur la tête, les oreilles sont séparées l’une de l’autre par un espace équivalent à la largeur de la base d’une oreille. Modérément pointues, elles sont très légèrement inclinées vers l’extérieur. Elles sont bien fournies et des plumets (lynx tips) sont souhaitables.
Encolure : de taille moyenne, l’encolure est bien musclée.
Corps : de format long et substantiel, le corps est de taille moyenne à grande, bien musclé, avec une poitrine large. De forme rectangulaire, il ne doit cependant montrer aucune exagération qui viendrait nuire à l’équilibre général.
Pattes : solides, avec une musculature puissante et une ossature substantielle, les pattes sont moyennement hautes, ce qui renforce l’apparence rectangulaire du corps. Le poitrail est large entre les pattes avant.
Pieds : grands et ronds, avec cinq doigts à l’avant et quatre à l’arrière, les pieds présentent une importante pilosité interdigitale.
Queue : longue, la queue doit idéalement atteindre la base de l’omoplate. Large à la base, elle est particulièrement bien fournie de poils longs qui forment des mèches souples et se termine en pointe.
Robe et texture : courte et irrégulière sur les épaules, la fourrure s’allonge graduellement sur les flancs pour atteindre sa pleine longueur sur le ventre et les culottes. Recherchée sous la gorge, la collerette ne s’étend pas sur la poitrine. La texture est soyeuse tout en ayant de la tenue et tombe naturellement de chaque côté du corps. Le sous-poil est fin.
La longueur de la fourrure et la densité du sous-poil varient avec les saisons et une robe nettement plus courte en été ne doit pas être pénalisée en jugement.
Pénalités
Profil droit, stop ou bosse prononcés sur le nez, menton fuyant ou prognathe, museau court, rond ou pointu.
Corps court et trapu. Ossature fine.
Robe courte en hiver ou d’égale longueur.
Absence de pilosité interdigitale.
Sous-poil laineux.
Le Maine Coon est un chat à poil mi-long natif de l’Etat du Maine, sur la côte est des Etats-Unis. La race s’est développée à partir de croisements entre des chats de ferme locaux et d’autres chats aux origines mal cernées, importés par les immigrants européens et qui ont su s’adapter aux conditions de vie et au climat difficiles de la région.
Le Maine Coon est un grand chat avec de grandes oreilles, une poitrine large, une ossature et une musculature fortes, un corps rectangulaire et musclé, une queue longue et bien fournie. La fourrure, de longueur inégale sur le dos et les flancs, offre une bonne protection naturelle.
Remarques importantes : le type ne doit pas être sacrifié à la taille, ni la taille au type.
Les mâles adultes présentent une évolution caractérisée par un élargissement de la tête qui fait paraître les oreilles plus petites et plus basses.
Le Maine Coon est une race longue à arriver à maturité et il doit en être tenu compte en jugement.
Tête : en longueur comme en largeur, la tête est de taille moyenne avec des pommettes hautes et saillantes. De profil, la ligne du nez forme une légère courbe concave sans stop. Une légère bosse est autorisée sur le bout du nez.
Museau : anguleux, le museau vu de face est carré. De profil, il peut paraître rectangulaire et n’est jamais ni pointu ni étroit. Le nez, les lèvres et la pointe du menton sont alignés sur la même verticale renforçant l’impression « carrée » du museau. Le menton est ferme et fort. L’équilibre des proportions entre la tête et la longueur du museau est essentiel.
Yeux : grands, légèrement ovales et bien espacés l’un de l’autre, les yeux sont implantés en oblique mais peuvent apparaître ronds quand le chat est attentif. Toutes les nuances de vert, de doré, de cuivre ou de jaune sont acceptées sans qu’il y ait de relation entre la couleur des yeux et celle de la robe. Les yeux bleus ou impairs sont acceptés chez les chats blancs.
Oreilles : grandes, larges à la base, placées haut sur la tête, les oreilles sont séparées l’une de l’autre par un espace équivalent à la largeur de la base d’une oreille. Modérément pointues, elles sont très légèrement inclinées vers l’extérieur. Elles sont bien fournies et des plumets (lynx tips) sont souhaitables.
Encolure : de taille moyenne, l’encolure est bien musclée.
Corps : de format long et substantiel, le corps est de taille moyenne à grande, bien musclé, avec une poitrine large. De forme rectangulaire, il ne doit cependant montrer aucune exagération qui viendrait nuire à l’équilibre général.
Pattes : solides, avec une musculature puissante et une ossature substantielle, les pattes sont moyennement hautes, ce qui renforce l’apparence rectangulaire du corps. Le poitrail est large entre les pattes avant.
Pieds : grands et ronds, avec cinq doigts à l’avant et quatre à l’arrière, les pieds présentent une importante pilosité interdigitale.
Queue : longue, la queue doit idéalement atteindre la base de l’omoplate. Large à la base, elle est particulièrement bien fournie de poils longs qui forment des mèches souples et se termine en pointe.
Robe et texture : courte et irrégulière sur les épaules, la fourrure s’allonge graduellement sur les flancs pour atteindre sa pleine longueur sur le ventre et les culottes. Recherchée sous la gorge, la collerette ne s’étend pas sur la poitrine. La texture est soyeuse tout en ayant de la tenue et tombe naturellement de chaque côté du corps. Le sous-poil est fin.
La longueur de la fourrure et la densité du sous-poil varient avec les saisons et une robe nettement plus courte en été ne doit pas être pénalisée en jugement.
Pénalités
Profil droit, stop ou bosse prononcés sur le nez, menton fuyant ou prognathe, museau court, rond ou pointu.
Corps court et trapu. Ossature fine.
Robe courte en hiver ou d’égale longueur.
Absence de pilosité interdigitale.
Sous-poil laineux.